J'ai fait mon jeu aux soupapes après avoir démonté mon collecteur d'admission (comme je dois changer le joint) pour avoir plus de place. Il n’y avait pas énormément de jeu, mais au moins, là, c'est parfait.
J'ai pris la décision d'attendre d'avoir tout remonté pour voir comment le moteur se comporte. Si il est poussif comme avant, je regarderai le calage. J'ai discuté avec un paysan qui a des tracteurs de la même génération et, pour lui, je fais correctement mon test de calage. Mais il pense aussi que 10° d'écart devraient avoir un impact plus marqué... Bref, je mets en pause, même si j’ai acheté une douille 33 dents pour démonter les clapets.
J'attends mes commandes pour pouvoir avancer. Du coup, j’ai fait quelques bricoles, comme essayer de faire marcher mes essuie-glaces, haha. J’ai démonté le moteur pour vérifier les charbons, et c’est bon de ce côté-là. Par contre, dans le réducteur, la graisse était fossilisée ! J’ai tout enlevé et mis de la belle graisse fraîche, mais même avec ça, le moteur reste faiblard… Et c’est bien lui, car je l’ai branché en direct. Bref, encore un truc qui va certainement être changé, mais pas avant d'autres tests

Je vais aussi regarder la tringlerie, qui me semble suspecte car soudée, mais c’était de l’artisanat à l’époque chez Hymermobil, donc c’est peut-être d’origine. Je verrai avec un autre propriétaire si je peux comparer.
Voilà, c’est tout pour la Kanike du jour. C'est pas grand-chose, mais j’ai dû aller chercher du foin pour les chèvres de ma femme, haha ! Un vrai plaisir vu que je suis allergique...
rsgqkweekkk :
Le manuel d'atelier devrait quand même te permettre d'y voir plus clair. À partir de 83, entre le 616 et le 617, à part un cylindre de plus, c'est tout pareil.
En effet, j'ai jeté un coup d'œil et c'est identique, mais avec quatre cylindres. Par contre, ce n’est pas le bon chiffre sur la première page, et ça me perturbe, haha. Les pages qui parlent du calage sont identiques à la RTA, qui est en fait une RTD, à la différence près que c’est BEAUCOUP plus détaillé, ce qui, encore une fois, me conforte dans mon process.